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  • Pas de migrants en Bretagne !

     Le 13/09/2016, un document confidentiel du Ministère de l’intérieur concernant le démantèlement de la Jungle de Calais est rendu public par le Figaro : « Le schéma de mobilisation des places d’hébergement sur l’ensemble du territoire a été validé », annonce ce document. Dans les faits, des CAO (Centres d’Accueil et d’Orientation) vont devoir être créés pour accueillir toujours plus de migrants.

     
                Le régime jacobino-mondialiste s'avance en conquérant dans ce qu’il considère comme ses « provinces », où il s’imagine déverser ses flots ininterrompus d’immigrés sans rencontrer d’hostilités. Seulement la résistance s’organise malgré un durcissement de l’Etat dans ce domaine, et seulement celui-ci:
     
            – Le maire d’une commune du sud de 2500 habitants a souhaité organiser un référendum sur l’obligation faite par le préfet d’accueillir 70 migrants. Le préfet, fonction hautement antidémocratique, a rétorqué que le référendum était illégal parce que “cette question n’était pas une affaire communale”.
     
            – Forges-les-Bains, une petite ville de 4000 habitants de l’Essonne, à la suite d’une réunion houleuse, le futur Centre d’Accueil des Migrants a été incendié. Dans un communiqué la municipalité, sans étiquette, a expliqué que “la commune n’avait pas été consultée” pour l’ouverture du centre et assurait subir un diktat de l’État.
     
          Tout ceci nous laisse présager le pire pour notre Bretagne. Nous savons également que notre département (22) est bien doté en villages de vacances, privés ou à caractère social. C’est ces derniers qui nous intéressent tout particulièrement et qui, n’en doutons pas, seront désignés d’office, c’est-à-dire sans consultation de la population,  par le pouvoir dictatorial jacobin afin d’accueillir une population aux mœurs et aux objectifs aux antipodes des nôtres. Déjà Trebeurden est visé.

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            -Nous savons par avance que toutes ces démarches auront un coût, et que c’est le portefeuille du contribuable qui sera ponctionné, sans son avis.
     
            -Nous savons que le désir ardent de ces pseudo-réfugiés est de regagner au plus vite les rivages de Calais, car leur objectif est simple : gagner l’Angleterre, plus souple sur les questions administratives liées à l’immigration.
     
            -Nous sommes donc en droit de penser que des exodes en direction de l’Angleterre auront bien lieu. Laissant les campagnes et les grands axes routiers aux mains d’une population qui a déjà montré sa capacité de nuisance dans le Pas-de-Calais.
     
                Les solutions qui s’offrent à nous sont les suivantes :
     
            – Organisation de referendums locaux en vue de faire pression sur l’administration.
     
            – Un renvoi ordonné des émigrés dans leurs pays d’origine. Il faut encore le rappeler, la plupart d’entre eux ne viennent pas des zones de combats du Moyen-Orient. Le leitmotiv qui consiste à nous endormir en répétant en boucle qu’il s’agit de réfugiés ne tient pas la route. En ce qui concerne les réfugiés des zones de guerres, la véritable solution est la stabilisation et la pacification des dites zones. Ces territoires qui ont besoin plus que jamais de leurs populations d’origine pour leur reconstruction. La seule et véritable action humanitaire doit aller dans ce sens : aider sur place, et non chez nous.
     
                Face à toutes ces agressions, la Bretagne a besoin, aujourd’hui plus que jamais, d’une véritable alternative politique dans le domaine de la défense. Défense dans le domaine institutionnel (un statut), culturel, économique et sur les questions liées à la sécurité et à l’immigration. C’est sur ces thématiques que Nous citoyens de Bretagne vous invite à débattre dans les semaines à venir.
  • La Citadelle de Lille et la CCAS de Trebeurden

    Les identitaires ouvrent la Citadelle, un bar privé en plein cœur de .

     
    Aussitôt, CHANGE.ORG a lancé une pétition hostile à cette ouverture de bar privé
    https://www.change.org/p/martineaubry-non-%C3%A0-l-ouverture-d-un-bar-d-identitaires-en-plein-centre-de-lille?utm_source=action_alert&utm_medium=email&utm_campaign=649811&alert_id=qKcIuTjKSQ_napcs%2BvixrqtA1VhYEuCxvY4DthqKfX8JoitrqR7XoQ%3D
  • Halte à la stigmatisation des fichés S !

     

    L'Institut pour la Justice est une association loi 1901 en faveur d'une Justice plus protectrice des citoyens et plus équitable vis-à-vis des victimes.  





    Chère Madame, cher Monsieur,

    Moi non plus, je n’y ai pas cru au début.

    Pourtant il a vite fallu me rendre à l’évidence…

    OUI, elle a vraiment osé dire une chose pareille, ou presque !!

    Elle, c’est Laurence Blisson, la secrétaire générale du syndicat de la magistrature.

    Vous connaissez cette obédience, car notre secrétaire général, Xavier Bébin, a été cloué sur le mur des cons par des militants de ce syndicat.

    Il avait eu le malheur de défendre une autre conception de la justice que laxisme - laxisme - laxisme.

    Cette scène surréaliste s’est passée dans C dans l’air sur France 5, le 12 septembre 2016. Vous pouvez aller regarder le replay.

    Un téléspectateur posait la question suivante:

    Les maires possèdent-ils la liste des fichés S qui résident dans leur commune ?

    Question légitime.

    Voici, au mot près, la réponse de Laurence Blisson.

    Ouvrez les guillemets.

    “Non, évidemment…

    … et heureusement.

    Il faut quand même avoir conscience que la fiche S, si elle était connue, elle aurait des conséquences extrêmement fortes en termes de stigmatisation et avec un risque aussi d’un effet totalement contre-productif.

    Si parce qu’on est fiché S, on est exclu du dispositif de logements sociaux;

    Qu’il y a une préoccupation, que c’est connu un peu partout dans les écoles, dans ces milieux de socialisation…

    Qu’est ce qu’on produit derrière en termes d’exclusion sociale ?

    Il faut réfléchir à ça.”


    Chère Madame, cher Monsieur, j’espère que vous aussi, vous réfléchirez à ça avant de stigmatiser les fichés S.

    Comprenez mon sarcasme: j’en perds tout simplement mes mots.

    Que dire ? Que puis-je donc ajouter ?

    Ah si: Laurence Blisson est juge d’application des peines au Tribunal de Grande Instance de Bobigny.

    Bobigny, charmante ville de Seine Saint Denis, département qui possède le plus de fichés S. 1200 selon le Parisien le 23 novembre 2015, contre 25 dans l’Aude ou 60 dans les Pyrénées Orientales (source: l’indépendant du 17 novembre 2015).

    Avec tout mon dévouement,
    Laurence Havel