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  • Discours du général De Gaulle le 23 juillet 1945

     

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    Le Général De Gaulle lors de sa visite à Lorient en juillet 1945
     
     
     
     

    Combien je suis ému de l’accueil magnifique de Lorient dans ses ruines, après tant de souffrances, d’épreuves endurées pour le service de la Patrie, et combien je sens que tous et toutes ici, malgré la situation dans laquelle se trouve la cité, tous et toutes n’ont qu’une idée, qu’une volonté, c’est de la faire renaître, de la faire renaître comme il faut qu’elle soit, pas à pas, plus belle et plus grande qu’autrefois.

    Nous referons Lorient, je vous le promets, morceau par morceau, Lorient qui de toutes les villes de France, est sans doute la plus martyrisée, la plus mutilée et cela mérite de la part du gouvernement tout entier, une attention, un effort de solidarité plus grand que pour toutes les autres villes.

    À Lorient, si l’on a infiniment souffert, on s’est associé en fait à toute épreuve, de cette épreuve dans laquelle nous avons fini par sortir à notre avantage c’est-à-dire par la victoire; et nous avons maintenant devant nous une autre route qui est la route de l’effort, de l’effort pour la rénovation.

    Cette route-là, nous voulons la suivre tous et tous ensemble n’est-ce pas? En se tenant fraternellement les mains dans les mains, car s’il peut y avoir entre nous, parmi les bons Français, des divergences d’opinions toutes naturelles, nous sommes rassemblés sur quelque chose qui appartient à tous et qui s’appelle l’intérêt national, l’intérêt supérieur de la Patrie et, dans ce domaine, il n’y a pas de division.

    Cette chose commune est à nous tous dont dépend l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants.

    Cette chose, nous la servirons tous et nous referons notre Patrie meilleure, plus belle, plus fraternelle. Nous la ferons dans le nouveau et dans la raison. C’est là notre devoir, nous l’accomplirons comme nous avons accompli nos devoirs de guerre. Lorient en est le témoin. Au nom du gouvernement de la République, je salue Lorient, sa municipalité et sa population si immensément éprouvée et je tiens à vous dire que le Gouvernement de la République a dans Lorient la plus entière confiance.

    Vive Lorient ! Vive la Bretagne! Vive la France !

  • Il n’existe qu’un seul « vote utile », c’est de voter pour ses idées.

    Pourquoi pour nous, dimanche, c’est Poisson

     

    Chers amis,

    Le monde bouge, après le Brexit, les électeurs américains ont choisi à la surprise générale D. Trump comme président. Cela prouve que toutes les options sont envisageables en France pour 2017.

    Nous Citoyens de Bretagne suivons avec intérêt la démarche de Jean-Frédéric POISSON  depuis quelques mois. Notre équipe n’a pas réussi au niveau national à porter l’idée d’un candidat Nous Citoyens de Bretagne à la présidentielle.

    Nous nous sommes rapprochés des Gaullistes Bretons avec succès pour définir une stratégie claire pour 2017 afin qu’elle nous serve pour mener des actions sur le terrain, élargir le mouvement et assurer la pérennité de Nous Citoyens de Bretagne.

    A partir de là, après une phase d’observation de la campagne de la Droite et du Centre, nous considérons que Jean-Frédéric POISSON est le seul candidat capable de porter notre projet citoyen.

    Nous sommes convaincus que J.F. POISSON est le meilleur candidat pour barrer la route aux partis classiques qui gouvernent la France de manière autocratique depuis 40 ans. C’est aussi le seul qui peut éviter un choix au second tour entre le tenant d’un parti classique et le candidat d’un parti extrémiste. C’est pour toutes ces raisons que le comité Nous Citoyens de Bretagne appelle à un soutien à la candidature de J.F. POISSON dimanche prochain

    Nous irons voter pour Jean-Frédéric Poisson au premier tour de la « primaire de la droite et du centre », et vous recommandons d’en faire autant, quelles que soient les consignes de partis dont vous pourriez être proches et qui intiment de ne pas participer à ce scrutin.

    Les primaires sont certes une trahison de l’esprit de la Ve République en ce qu’elles confient aux partis le soin de désigner les candidats à la présidence de la République, alors que le général De Gaulle ne leur avait concédé que le rôle de « concourir » à l’expression du suffrage (art. 4). Elles sont aussi une absurdité en ce qu’elles permettent aux électeurs du bord opposé de choisir le candidat qu’ils préfèrent affronter – ou qu’ils ont déjà choisi parce qu’il est le plus proche de leurs idées et qu’eux-mêmes n’en ont pas de meilleur !
    Mais elles existent. Cette « primaire de la droite et du centre » se tiendra et les rapports de force politiques qui en sortiront s’imposeront à tous. Faudrait-il, dès lors, s’abstenir d’y participer et rester simple spectateur ? Il est tout de même difficile de se plaindre de l’absence de démocratie et de s’abstenir pour une fois que tout un chacun peut peser sur un choix.

    Il n’existe qu’un seul « vote utile », c’est de voter pour ses idées. Surtout au premier tour. Au second tour, on élimine mais au premier, on choisit. On accomplit un acte positif. On affirme son choix de société. On défend ses valeurs essentielles.

    Comme le dit Jean-Frédéric Poisson, à destination de ceux qui trouvent toujours une bonne raison de ne pas aller voter ou de voter comme ils joueraient au billard (« Si Fillon est au second tour, il a une chance de battre Juppé », « Si c’est Sarko qui l’emporte, Marine Le Pen peut le battre », etc.) : « A force de ne pas soutenir les candidats qui pensent comme vous, vous les découragerez et vous n’aurez plus personne pour vous défendre. »

    Claude Guillemain-Charlez

    Président

    Nous Citoyens de Bretagne

    http://www.nouscitoyensdebretagne.eu/