Achmed
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« S'ils m'arrêtent et me jettent en prison, je continuerai en prison. Je radicaliserai tout le monde en prison. » — Anjem Choudary, cité par le Daily Mail.
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La vulnérabilité des personnes fraichement converties à l'islam radical est un facteur des plus préoccupants. Leur bagage religieux initial très mince, les amène à adopter sans coup férir les formes les plus extrêmes de l'islam, sous la férule de radicaux eux-mêmes aidés par la littérature extrémiste disponible gratuitement dans les prisons.
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« Le politiquement correct dans les prisons favorise l'extrémisme ; les gardes ont trop peur d'affronter les musulmans ». Les extrémistes « exploitent ... la peur du personnel d'être taxé de racisme. » — The Telegraph, citant un rapport de Ian Acheson, ancien directeur de prison britannique.
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Peu-après sa libération de Guantanamo en 2007, Said al-Shihri a suivi un programme de déradicalisation en Arabie Saoudite, puis est devenu chef adjoint d'Al-Qaïda au Yémen, et a orchestré le bombardement de l'ambassade des États-Unis en 2008.
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Un député travailliste, Khalid Mahmood, a fait remarquer que nombre de mentors censés sortir les jeunes de la radicalisation sont eux-mêmes des radicaux non-violents.