Réponse à Monsieur Pierre Lambert, préfet des Côtes d’Armor
En réponse à l’article paru dans le Télégramme de ce jour
Ce qui s’est passé à Trégastel était effectivement totalement inacceptable ! Cette violence inouïe venant de pseudos militants Bretons, prétendument pros migrants, en fait des brutes enragées qui s’en sont pris aux gendarmes qui faisaient de leur mieux pour éviter un drame : en effet, si ces derniers n’avaient pas protégé les manifestants peu nombreux et pacifiques opposés à l’ouverture d’un centre de migrants, cette ignoble agression se serait terminée dans le sang.
Ce sont certainement les mêmes casseurs professionnels qui ont saccagé les villes de Nantes et de Rennes lors des manifestations de ces derniers mois. Peu importe la cause dont ils se moquent et qu’ils déshonorent : ce qui compte c’est l’ivresse provoquée par le saccage, le pillage et la violence. Reste au contribuable Breton à payer les millions d’euros de réparations.
Les photos de ces violences sont parues dans la presse locale : le visage de ces agresseurs casseurs y est clairement visible ! Je ne doute pas que ces individus, qui n’hésitent pas à agresser les forces de l’ordres soient connus des autorités. On peut se demander à juste titre pourquoi la justice ferme les yeux sur ce genre d’exactions qui se reproduisent à intervalle régulier ? Faudra-t-il un mort pour qu’elle réagisse ? Ou avons-nous atteint un tel niveau d’intolérance que l’élimination physique des opposants au pouvoir (par la mort ou le handicap physique) est devenue une option acceptable.
Monsieur Lambert feint de croire que notre inquiétude se limite aux quelques dizaines de migrants qui seront accueillis dans le Trégor : c’est se déconnecter du contexte global de l’invasion migratoire de l’Europe ! Ces individus représentent certes un risque limité mais que l’on ne peut pas considérer comme nul vues les déclarations de l’Etat Islamique qui a affirmé qu’il infiltrerait des terroristes au sein des réfugiés. Or, les attentats et tentatives d’attentats de ces derniers mois, en France, en Europe et dans le monde ont prouvées que l’Etat Islamique ne faisait pas de menaces en l’air.
Les très nombreux viols qui ont eu lieu en Allemagne et en Scandinavie depuis le début de l’année sont aussi une source d’inquiétude : les jeunes hommes d’origine Africaine pour la plupart que l’on dissémine dans nos campagnes ont une autre culture et vision des rapports entre hommes et femmes. Sans ignorer de leurs besoins physiologiques dont il faut parler sans fausse pudeur ni esprit graveleux. Cet aspect des choses a-t-il été envisagé par les autorités ? A l’époque coloniale, l’armée française n’avait pas éludée cette question qui révulse sans doute notre préfet bien-pensant :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bordel_militaire_de_campagne
Le problème fondamental n’est pas qu’un relativement petit nombre de migrants soit implanté en Bretagne. C’est la propagation de l’islam dans notre pays, à une époque où toutes les études et constatations de terrain démontrent les difficultés d’adaptation de cette religion aux lois de la république et la montée de tensions au sein de la population qui risquent de nous mener, à plus ou moins brève échéance à la guerre civile.
http://www.revuedesdeuxmondes.fr/ivan-rioufol-la-guerre-civile-qui-vient/
Notre pays s’est construit grâce à l’apport de vagues d’immigrations : Italiens dont certains ont travaillés dur dans les carrières du Trégor, Espagnols fuyant la guerre civile, Portugais, Polonais et bien d’autres. Ces émigrés avaient en commun une culture et des valeurs judéo-chrétiennes : le respect de la démocratie, le respect de la laïcité même si nombre d’entre eux étaient très croyant, le respect de la femme.
L’immense majorité des migrants actuels proviennent de pays musulmans aux valeurs diamétralement opposées aux nôtres : dans le code de la famille de ces pays, la femme reste une mineure à vie, dépendante d’un père, mari, frère ou autre mâle de la famille pour toute démarche publique. La loi religieuse prévaut toujours sur la loi laïque de l’état. Je n’émets pas de jugement de valeur : c’est leur culture, leur foi, leurs pays. J’affirme simplement que la culture musulmane pratiquée dans des pays très rigoureux comme le Soudan ou l’Afghanistan est très difficilement adaptable à celle de notre pays. Nous en constatons tous les jours les conséquences dans nos banlieues où, n’ne déplaisent à nos dirigeants politiques, des zones de non-droit français, mais de vrai droit islamique (sharia) se sont constituées.
Enfin, j’aimerais que Monsieur le Préfet nous explique ce que ces migrants vont devenir au bout de 2 ou 3 mois de transit dans les CAO ? La plupart de ces individus sont anglophones et peu qualifiés : comment vont-ils pouvoir d’intégrer dans un pays qui souffre déjà d’un chômage de masse avec plus de 5 millions de sans-emplois et d’une sévère crise du logement dans les grandes villes offrant quelques faibles possibilités d’emploi pour des travailleurs non qualifiés ?
Qu’adviendra-t-il des déboutés du droit d’asile ? L’administration se refusant à exécuter les expulsions du territoire, donc à faire respecter la loi de la République sur le séjour des étrangers en France, pourtant votée par nos députés, ces déboutés restent comme « sans papiers » et n’ont donc d’autre options que de travailler illégalement ou de rejoindre la piétaille des gangs dirigés par les caïds de la drogue.
Je demande aussi à Monsieur le Préfet s’il réalise les conséquences message envoyé aux centaines de millions d’Africains qui vivent avec un revenu 10 à 50 fois inférieur à celui qu’ils obtiendraient en venant en France :
« Venez en France, vous y serez logés, nourris transportés soignés gratuitement et en prime on vous accordera 300 euros d’argent de poche que vous pourrez dépenser à votre guise sans aucun risque d’être expulsés ».
Nous ne parlons plus de 30, 60 ou 100 migrants mais d’un déferlement de dizaines de millions de migrants sur l’Europe qui ruineront nos économies et détruiront définitivement nos systèmes de protection sociale.
Philippe Cayrel